Il fut officiellement désigné comme dauphin de son père en 2000. À ce poste, ce dernier aurait torturé et/ou fait torturer plusieurs athlètes[2],[3] (on aurait trouvé en 2003 une vierge de fer au siège de la fédération olympique d'Irak, instrument de torture très probablement utilisé par Oudaï Hussein lui-même[1]). À la barre, il y fait une déclaration politique, affirmant notamment qu'il se considérait toujours comme le président de l'Irak, appelant les Irakiens à cesser les violences entre eux et à combattre les troupes américaines. Ce parti, cofondé par un Syrien chrétien, Michel Aflaq, et par un musulman, Salah al-Din al-Bitar, affilié à la IIe internationale socialiste, présent de façon officielle ou clandestine dans tous les pays arabes, prône un nationalisme arabe laïc et l'unité du monde arabe, mélangé de références socialistes modérées (nationalisation des richesses nationales, notamment du pétrole)[3]. Cependant, 72 des 80 membres élus de ce conseil de la première session d'octobre 1974 ont été sélectionnés par Bagdad. Irak. En 1992, Oudaï est élu à l'unanimité président du Syndicat des journalistes irakien, et se fait appeler « Doyen des journalistes »[7]. Il se consacre alors à la constitution d'une branche clandestine du Baas, qui implique une centaine de personnes[1]. Cette loi permet aussi l'élection d'un conseil législatif autonome, qui contrôle son propre budget. Le 8 août 2005, tous ses avocats commis d'office par le Tribunal, sauf un Irakien, Khalil al-Doulaïmi (en), sont récusés par la famille Hussein, qui les accuse de s'être autoproclamés défendeurs de Saddam Hussein sans avoir été mandatés. Dès la prise de contrôle de la capitale par les forces américaines en avril 2003, Oudaï Hussein, considéré comme un des piliers du régime baasiste, se cache en compagnie de son frère Qoussaï et d'autres membres de sa famille. However, his actions bespeak a tyrannical despot who stopped at nothing to punish those who opposed him. Il a été longtemps présenté comme dauphin de son père, assumant des responsabilités importantes au sein du régime irakien. Il occupe également le poste de vice-président du Bureau révolutionnaire. nécessaire]) et kurdes (qui souhaitent établir un État du Kurdistan indépendant, reconnu internationalement, en unifiant les provinces kurdes de Turquie, d'Irak, de Syrie et d'Iran). La période est marquée par la guerre Iran/Irak, et les défaites subies par les Irakiens préoccupent gravement les Américains, qui voient le danger d'une domination iranienne dans la zone du Golfe. « Dès sa jeunesse, il s’enflamme pour les idéaux révolutionnaires du parti illégal Baath (ou Baas). Le 5 novembre 2006, il est jugé coupable du massacre de 148 chiites irakiens à Doujaïl en 1982 et est condamné à mort. Le propriétaire de la maison (le Cheikh Zeidan, un cousin de Saddam[9]) reçut peu après la citoyenneté américaine et s'expatria aux États-Unis, ce qui renforça les spéculations selon lesquelles il aurait pu être l'informateur et le bénéficiaire des trente millions de dollars de récompense promis pour la capture des deux fils Hussein. Comme dans les régimes totalitaires, la propagande est omniprésente à travers les différents médias et les affiches représentant le portrait du Raïs[7]. Les commanditaires et les exécutants de l'attaque ne seront jamais retrouvés, mais les possibilités sont nombreuses, y compris au sein de sa propre famille, tant il est vrai qu'Oudaï Hussein avait un grand nombre d'ennemis[3]. On y voit Saddam Hussein, affaibli, barbu, soumis à un examen par un médecin militaire (qui prélevait des échantillons d'ADN). Il aurait alors vécu dans une petite maison en torchis, qui n'aurait été composée que d'une pièce et où, comme dans la quasi-totalité des demeures irakiennes de l'époque, il n'y aurait pas eu l'électricité. Le dossier est pris en main par le vice-président Bush qui envoie à Bagdad Donald Rumsfeld en décembre 1983[8]. C'était une mission presque impossible mais non sans espoir car Ratarossa a rapidement retrouvé ses traces grâce aux utilisateurs de YouTube. Paul Bremer, proconsul américain, prononce la phrase devenue célèbre : We got him (« On l'a eu ») lors d’une conférence de presse. Le 29 décembre 2006, le député Sami al-Askari (en), collaborateur du Premier ministre Nouri al-Maliki, annonce que Saddam Hussein sera exécuté dans la nuit du 29 au 30 décembre 2006 ou, au plus tard, le 4 janvier 2007. La juridiction refuse d'accéder à la dernière volonté de Saddam Hussein d'être fusillé, comme le prévoyait l'ancienne Constitution irakienne pour les crimes politiques, et confirme l'exécution par pendaison, qui était réservée en Irak aux criminels de droits communs, dans les trente jours à venir. Khairallah serait ensuite parti pour Bagdad avec le jeune Saddam où, en plus d'aller à l'école, il aurait exercé de petits métiers, comme celui d'assistant de chauffeur de taxi et de vendeur de cigarettes à la criée. When Saddam Hussein's "throne" crumbled after the U.S.-led coalition invaded Iraq in 2003, two of his sons were killed in the conflict and the rest of his closely-knit family was scattered across the Arab world. Selon un membre d'un niveau hiérarchique élevé de la CIA, il en serait revenu en emportant un drapeau tricolore dans ses bagages. Ils ont prétendument été gelés par une décision de l'ONU de 2002, or il n'apparaît jamais comme le propriétaire réel, mais à travers de nombreuses sociétés offshore gérées par ses hommes de confiance, toujours en liberté, qui disposent d'un simple titre au porteur et qui sont donc protégés par les conventions internationales ad hoc, d'où les difficultés que connaît le gouvernement irakien d'aujourd'hui pour récupérer ses biens[22]. D'après les statuts du tribunal, il y a automatiquement appel pour ce type de condamnation. Le 15 mai, il est formellement accusé de « crime contre l'humanité » pour le massacre de Doujaïl, et refuse de plaider, trois de ses avocats ayant été assassinés lors des premiers jours du procès et Saddam Hussein ayant récusé tous ceux, commis d'office, que le tribunal spécial irakien lui proposait en remplacement, en ajoutant qu'« il n'y avait aucune possibilité de juger le Président de l'Irak », ou que « le Tribunal spécial irakien n'a pas autorité, au terme de la Constitution de la République irakienne, pour juger le Président de l'Irak » (Saddam Hussein ne reconnaissait pas la nouvelle Constitution irakienne adoptée le 15 octobre de l'année précédente, affirmant qu'elle avait été « imposée » à l'Irak par les forces d'occupation étrangères). Le fils de 14 ans de Qusay Hussein, Mustapha, et son frère aîné Uday Hussein ont également été tués lors du raid. C'est l'affaire dite d'Atlanta, siège de l'agence bancaire qui a piloté l'opération. En décembre 1996, il est victime d'un attentat alors qu'il conduit sa Porsche dans Bagdad. En 1964, Saddam Hussein aurait projeté d'assassiner le président Abdel Salam Aref. Il y adhère en 1957, et devient rapidement l’homme de main du Baath. « il n'y avait aucune possibilité de juger le Président de l'Irak », « Les États-Unis ont offert Saddam en sacrifice sur l'autel de la guerre civile irakienne ». Dévoué à l'idéologie baassiste, qui combine socialisme arabe et nationalisme panarabe, Saddam Hussein joue un rôle déterminant lors du coup d'État du 17 juillet 1968 qui porte le parti Baas au pouvoir en Irak. Son frère sera tué en 2004 par des inconnus, probablement en représailles. - 23 juillet - Arrestation de l’ancien commandant de la Garde républicaine spéciale de Saddam Hussein, Barzan Abd Al … Nous étions en décembre 2003, plusieurs mois après l’incursion des alliés internationaux sous Georges Bush fils. Après son exécution, le corps fut amené en « zone verte », le périmètre de sécurité de Bagdad, dans la résidence du Premier ministre, où fut organisée une fête entre amis pour fêter la pendaison[18]. Plus tard, il devient chef de l'une des officines chargées de la sécurité du président irakien. Plusieurs autres membres de l'ancien parti Baas sont également jugés et furent condamnés à mort ou à des peines allant jusqu'à l'emprisonnement à perpétuité, parmi lesquels : Le 26 décembre, la cour d'appel irakienne confirme la condamnation à mort de Saddam Hussein. Lors de la « Révolution blanche » (nom donné parce qu'aucune goutte de sang n'a coulé pendant ce coup d'État), Saddam Hussein aurait – d'après les sources baasistes – assiégé le palais présidentiel avec un tank et « pris le pouvoir ». Certains ne manqueront pas de critiquer le deux-poids-deux-mesures américain[11] puisque l'administration américaine avait mis un veto depuis 1991 sur la publication d'images de soldats américains tués et même de leurs cercueils[12]. Elle a été reprise par de nombreuses chaînes de télévision de par le monde, chaînes qui semblent avoir, pour la plupart, censuré tout ou une partie de la bande son. L'armée américaine affirme avoir tué les deux fils de Saddam Hussein, Oudaï et Qoussaï, dans de violents combats. Après sa tentative d'assassinat du général Kassem, il se serait enfui à cheval, aurait traversé l'Euphrate à la nage[1] et, avec l'aide de réseaux syriens, aurait traversé le désert, puis se serait réfugié parmi des Bédouins ; il se réfugie alors à Damas, où il rencontre des baasistes syriens. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Il accepte le foulard qui lui est proposé pour éviter les blessures occasionnées par la corde. He was known in particular for his role in the Iran-Iraq War and the Persian Gulf War. «J'ai l'impression que Saddam laisse planer cette menace sur les familles irakiennes: si … Saddam aurait quitté le domicile familial à l'âge de 12 ans. Hussein a été choisi comme héritier de Saddam apparent en 2000. Le Pentagone espère porter ainsi un coup violent à la guérilla irakienne. Saddam Hussein était le fils d'une famille paysanne originaire d'un village proche de Tikrit, à 150 kilomètres au nord de Bagdad. Comme son frère, sa tête est mise à prix pour quinze millions de dollars[9]. On ne sait que peu de choses sur les premières années de sa vie. Exécuter Saddam Hussein un jour de paix et de pardon pour les sunnites (pour les chiites, l'Aïd a lieu le lendemain), qui plus est, une fête au cours de laquelle on sacrifie un animal, serait selon lui une provocation délibérée de la part de ceux qui détiennent désormais le pouvoir à Bagdad. Saddam Hussein Abd al-Majid al-Tikriti (/ h ʊ ˈ s eɪ n /; Arabic: صدام حسين عبد المجيد التكريتي Ṣaddām Ḥusayn ʿAbd al-Maǧīd al-Tikrītī; 28 April 1937 – 30 December 2006) was an Iraqi politician who served as the fifth President of Iraq from 16 July 1979 until 9 April 2003. Mille cinq cents personnes dont vingt-deux avocats principaux venant d'Irak, de Jordanie, de Libye, de France et des États-Unis se sont proposés pour assurer la défense de Saddam Hussein. Sous sa présidence, l'Irak connaît huit ans de guerre avec l'Iran. Le premier procès de Saddam Hussein est alors ajourné pour permettre d'entendre ces derniers dans des conditions de sécurité satisfaisantes. nécessaire]. Au début des années 1970, il se donne le titre de général « honoraire ». Au sein du Parti Baas (ou de l'État irakien), Saddam Hussein prend alors la tête des services de sécurité, à l'âge de 31 ans. - 22 juillet - Les deux fils de Saddam Hussein, Oudaï et Qousaï, sont tués dans un raid américain de plusieurs heures contre une maison à Mossoul. Il serait né le 28 avril 1937 dans une famille très pauvre de paysans sans terre du village d'Al-Awja, à environ 10 km au sud-est de Tikrit. Qoussaï Saddam Hussein al-Tikriti (arabe: قصي صدام حسين , généralement orthographié Qusay en anglais), né le 17 mai 1966 à Bagdad en Irak et mort le 22 juillet 2003 à Mossoul en Irak, est le second fils de Saddam Hussein. La peine de mort avait été abolie en Irak par l'administrateur civil de l'Irak Paul Bremer ; elle semble y avoir été réintroduite à la suite de l'arrestation de Saddam Hussein. Trending Peaky Blinders (TV series) Trending. Né le 28 avril 1937 dans un petit village près de Tikrit, Saddam Hussein grandit au sein d’une famille de paysans sunnites, dans une grande pauvreté et en l’absence de son père. Admiratif de son oncle, il aurait décidé de devenir, comme lui, officier. Oudaï Hussein al-Tikriti était le fils ainé de Saddam Hussein et de sa première femme. Durant les vingt-quatre années de son pouvoir (16 juillet 1979-14 décembre 2003), Saddam Hussein utilise tous les moyens pour contrôler la population et régner sans partage. Il n’a cependant présenté aucune résistance lors de son arrestation[14]. Il est ensuite capturé, après huit mois de fuite, par les troupes américaines le 13 décembre 2003 et comparaît devant la justice irakienne, faisant alors face à de multiples chefs d'accusation allant jusqu'au crime contre l'humanité. La brutalité de sa dictature demeure largement condamnée : outre ses multiples violations des droits de l'homme, divers gouvernements et ONG ont dénoncé ses actions en matière de crimes de guerre, meurtres, crimes contre l'humanité et génocide. Le 15 mars, Saddam Hussein est appelé par l'accusation en tant que témoin. Après son arrestation, des images font le tour du monde, à la une de tous les journaux. Dans son village natal d’Aouja, le mausolée qui abritait la tombe de Saddam Hussein n’est plus qu’un amas de béton et de fils de fer. Pour la Maison Blanche, très critiquée ces dernières semaines, cette action … Saddam Hussein est mené au gibet, les bras et les pieds entravés, et lit des versets du Coran. Épaulé par son groupe, sa « tribu », constituée de sa proche famille, de ses nombreux cousins et alliés, et des natifs de sa ville de Tikrit, Saddam Hussein, peu à peu, « élimine » ses rivaux, et réussit à « contrôler » Bagdad, la capitale. Certains secteurs d'opinion dans le monde arabe continuent cependant de louer sa farouche opposition aux États-Unis et à Israël, ainsi que son rôle déterminant dans le développement économique de l'Irak. Saddam Hussein sera finalement exécuté par pendaison le 30 décembre 2006. À la suite d'un échange de coups de feu, les forces spéciales se replient et demandent du renfort. FALLAIT-IL OUI OU NON diffuser les photosdes cadavres d'Oudaï et de Qoussaï, les deux fils de Saddam Hussein tués mardi dans l'assautd'une villa de Mossoul par l'armée américaine ? L'annonce de l'exécution déclenche une polémique. La presse est censurée et la peur d'être arrêté et exécuté paralyse les opposants au régime, principalement chiites (à l'exception des communistes, la très grande majorité des chiites était opposée au régime laïc imposé au pays dès le début des années 1960[réf. Il devient vice-président de la République en 1968. Le juge lui coupe alors le microphone et la suite de l'audience se déroule à huis clos[15]. La dernière modification de cette page a été faite le 25 avril 2021 à 15:32. Il est également l'initiateur de nombreuses réformes économiques qui améliorent considérablement le niveau de vie moyen, notamment sa nationalisation du pétrole et de diverses autres industries au début des années 1970. L'exécution a eu lieu dans un quartier à majorité chiite, au Camp d'Al-Adala à Kadhimiya, au sein d'une caserne des renseignements militaires ; La prière des personnes présentes faisait référence à des imams historiques chiites. Puis, il part au Caire, à l'époque de la République arabe unie, et il est condamné par contumace à mort par le gouvernement irakien. le « New York Times », Qoussaï, un des fils de Saddam Hussein, s'est fait remettre sur ordre. Depuis le renversement de Saddam Hussein, l'Irak demeure en proie à une grande instabilité. » (source : Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Dernière modification le 25 avril 2021, à 10:04, peines allant jusqu'à l'emprisonnement à perpétuité, « Approche comparative des discours de Michel Aflaq et de Saddam Hussein », « Judge Closes Trial During Saddam Testimony », Vidéo de l'exécution prise probablement au moyen d'un téléphone portable, « Le procès de Saddam Hussein : quand Bush tenait la corde », « L'ex-dictateur martyr inattendu de la cause sunnite », « Saddam Hussein's Golden AK-47 still holds the glitter », Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale, Saddam Hussein, le parcours d'un dictateur, Saddam Hussein, 24 ans de dictature en Irak, Approche comparative des discours de Michel Aflaq et de Saddam Hussein, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Saddam_Hussein&oldid=182264854, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.

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