Cette organisation, qui a succédé à la Société des Nations, va tenter de résoudre le conflit entre Juifs et Arabes sur la « question de la Palestine ». Ont voté pour : États-Unis d’Amérique, Australie, Belgique, Bolivie, Brésil, République socialiste soviétique de Biélorussie, Canada, Costa Rica, Danemark, République dominicaine, Équateur, France, Guatemala, Haïti, Islande, Liberia, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, République populaire de Pologne, Suède, Tchécoslovaquie, République socialiste soviétique d’Ukraine, Union sud-africaine, URSS, Uruguay et Venezuela. russes où tout est mis en commun au service de la communauté. Une iniquité ! Les conflits ne cessant pas, l’ONU organise en 1947 une assemblée extraordinaire afin de régler le sort des juifs et de la Palestine. Entre cette … Ayant mis à sa disposition trois officiels de haut rang, dont Abba Eban, l'Agence juive s'assure que ce comité soit chaudement accueilli lors de ses déplacements et que ses membres soient mis en contact avec des colons parlant leurs langues maternelles (suédois, espagnol, persan…). Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants, de les transférer tous. Il est à noter que l’ONU accorde aux sionistes 50 % de plus que le plan Peel de 1937 soit 60 % du territoire alors qu’ils n’avaient jusqu’alors que 7 % de la propriété foncière ; de plus ce territoire comporte 80 % des terres céréalières de la Palestine et 40 % de son industrie. La position de l’Agence juive est qu’il faut établir un « État juif » en Palestine mandataire et y permettre l’émigration libre, en particulier pour les personnes déplacées juives de la Seconde Guerre mondiale. Il y a quelque chose d’archaïque et d’inacceptable dans ce concept de « peuple » juif qui fait que l’appartenance à la religion juive selon les règles rabbiniques (qu’on soit croyant ou non croyant) confère à toute personne, un « droit de propriété sur la terre d’Israël », ce droit ayant été accordé, selon la Sainte Bible qui fait toujours autorité en Israël, par Dieu à son « Peuple » jusqu’à la fin des temps. Bien que consciente des menaces qui pèsent sur sa mise en place, elle voit l’établissement d’un État juif soutenu par la légitimité d’une reconnaissance internationale comme une avancée majeure dans le projet sioniste. Les Britanniques confirment leur volonté de remettre le mandat et les États-Unis et l’Union soviétique soutiennent le plan[24]. La résolution 181 a pour but la création de deux Etats. », « L’étincelle qui mettra le feu à la Troisième Guerre mondiale jaillira de Palestine », Live by the Sword: Israel's Struggle for Existence in the Holy Land, James Rothrock, p.14, Live by the Sword: Israel's Struggle for Existence in the Holy Land, James Rothrock, My library My History Books on Google Play Strands of a Plait, Singly, Rachel Sarna, 1998 p.88, UN Peacekeeping: Myth and Reality, Andrzej Sitkowski, p.41, Résolutions et décisions adoptées par l'Assemblée générale au cours de sa, « Résolution adaptée sur le rapport de la commission, associant ces informations à des références, Comité spécial des Nations unies sur la Palestine, Protagonistes de la Guerre de Palestine de 1948, République socialiste soviétique de Biélorussie, République socialiste soviétique d’Ukraine, guerre civile de 1947-1948 en Palestine mandataire, United Nations Partition Plan for Palestine, Résolution 181 de l'Assemblée générale des Nations unies, Iraeli-Jordanian Dialogue, 1948-1953. D'après Dominique Vidal, on tente également de corrompre des délégués pour obtenir leur vote[24]. Le président américain va donc user de tout son pouvoir de la grande puissance militaire du moment. Le résultat est le suivant: 25 voix pour 13 voix contre 17 abstentions 2 absents Mais il manque encore une voix pour que la résolution soit acceptée. L'essentiel des terres côtières cultivables lui revient. Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine élaboré par le Comité spécial des Nations unies sur la Palestine (UNSCOP) créé par l' ONU, est approuvé par cette dernière à New York, par le vote de la résolution 181 Création de l'Etat d'Israël Apres la seconde guerre mondiale, beaucoup de juifs essayent d'entrer clandestinement en Palestine pour chercher refuge, les anglais empêchent ces derniers … Ont voté contre : Afghanistan, Arabie saoudite, Cuba, Égypte, Grèce, Inde, Iran, Irak, Liban, Pakistan, Syrie, Turquie et Yémen. L’objectif est donc double : affaiblir les Britanniques dans la région, et essayer de faire basculer Israël dans le camp soviétique, en profitant de la domination de la gauche sur le mouvement sioniste et de son alliance avec un parti « farouchement stalinien »[30], le Mapam, second parti du pays après les élections de 1949[30]. Selon les chiffres des Britanniques, 1067 Arabes, 769 Juifs et 123 Britanniques ont été tués au 9 janvier 1948, dont 50 chaque jour à Jérusalem[34]. Des pressions sont exercées sur le Liberia, Haïti et les Philippines pour les forcer à changer de position avant le vote ; le secrétaire de la Défense des États-Unis James Forrestal écrit à l’époque dans son journal personnel que « les moyens de coercition exercés sur ces pays confinaient au scandale. Il y a 70 ans, le Président haïtien d’alors, Dumarsais Estimé, adoptait la Résolution 181. Résolution 694 (24 mai 1991). Celui-ci serait par conséquent peuplé à 99 % d’Arabes, avec une communauté de 804 000 habitants. Dès la fin du XIXe siècle, la Palestine connaît une immigration de Juifs venant de la diaspora et rassemblés au sein du mouvement sioniste. A la fin de la première guerre mondiale, contrairement aux assurances d’indépendance anglaises faites aux Arabes s’ils se rangent du côté des Alliés, la Grande-Bretagne avait convaincu une société éminemment européenne à endosser un programme de colonisation sioniste en Palestine,(cf. En 1918, le Royaume-Uni achève sa prise de contrôle de la Palestine et défait les armées ottomanes. Mais nous faisons la promotion de nos contenus et services sur d’autres sites et réseaux sociaux. L’URSS a appuyé la création d’Israël car elle « entrevoit une possibilité de pénétrer au Proche-Orient par la Palestine, à condition d’en chasser d’abord les Anglais »[27]. En réponse, les sionistes avancent leur propre projet de partage, tandis que les Arabes demandent l’indépendance immédiate de la Palestine[16]. Les USA firent aussi pression sur la France pour qu’elle vote en faveur du plan. Après le départ des Britanniques six mois plus tard, la première guerre israélo-arabe débute et le plan ne sera pas implémenté. * Résolution 487 1987 : Notant en outre qu’Israël n’a pas adhéré au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.Condamne énergiquement l’attaque militaire menée par Israël contre les installations nucléaires iraquienne.Demande à Israël de placer d’urgence ses installations nucléaires sous la garantie de l’Agence internationale de l’énergie atomique. M. DANNY BEN YOSEF DANON (Israël) a rappelé que c’est le 29 novembre 1947 que l’Assemblée générale a adopté la résolution 181 sur le plan de partage des terres entre Juifs et … Le 14 mai 1948, conformément à la résolution de l'assemblée générale de l'ONU en date du 29 novembre 1947, David Ben Gourionproclame l'indépendance de l'État d'Israël (« Medinat Israel ») et devient Premier ministre. Des émeutes et des attaques contre les juifs éclatent le lendemain du vote en Palestine mandataire, en Égypte, en Syrie et au Yémen, ce qui marque le début de la guerre civile[7]. Création de l’Etat d’Israël. Sur le terrain, tout est fait pour faire obstacle à son travail d'enquête. Jérusalem est placé sous régime international. Ce vote historique marque les balbutiements de […] Les dirigeants arabes revendiquent l’ensemble du territoire et soutiennent que le partage constitue une violation du droit de la majorité des habitants de la Palestine, qui à l’époque est composée de deux tiers d'Arabes (1 200 000) et un tiers de Juifs (600 000) principalement immigrés d’Europe pendant la période du mandat[19],[20]. Sa fonction est d’acheter des terres en Palestine/Eretz Israel et d’y développer le pays en vue de l’implantation des Juifs. Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est … , et réclamaient le pays au complet .De façon plus technique, les Arabes critiquèrent aussi le tracé de la frontière. Ses travaux aboutissent en 1937 à un plan de partage qui n’est en fin de compte pas retenu. Le 29 novembre 1947, l’ONU met fin au mandat britannique en Palestine et se prononce en faveur de la création d’un Etat juif et d’un Etat palestinien, avec Jérusalem restant sous contrôle international. La première période commence dès le lendemain de l'adoption du Plan de Partition de la Palestine par l'Assemblée générale de l'ONU (voir 22 octobre 1973 : le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 338 qui appelle à un cessez-le-feu et à des négociations. Quand la guerre sera finie et que les Anglais l’auront, quand les juges siégeront sur le trône de la Loi, notre peuple doit présenter ses besoins et ses droits, et la seule solution est la Terre d’Israël, ou au moins la partie occidentale de la Terre d’Israël (c’est à dire la Palestine) sans les Arabes. Le partage et la création des deux États (État juif, État arabe et zone de Jérusalem sous administration internationale), furent donc votés par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. La ville de Jaffa à population majoritairement arabe, au sud de Tel Aviv, devait initialement faire partie de l’État juif. Soixante-neuf ans plus tard, le vendredi 23 décembre 2016, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté une résolution pour tenter de sauver celle votée en 1947. Description: Le plan de l’ONU voté le 29 novembre 1947 propose un partage de la Palestine sous mandat britannique entre deux États, juif et palestinien, avec une union économique, et prévoit que Jérusalem sera internationalisé et placé sous le contrôle de l’ONU. La résolution 273/1949 de l’admission d’Israël à l’ONU [2] précise que cette admission est liée au respect de la résolution 181/1947 ayant décidé de la création d’un État palestinien, ainsi qu’au respect de la résolution 194/1948 ayant décidé du retour des réfugiés palestiniens sur leur terre [3]. Les Etats arabes et les Palestiniens s’y opposent. Résolution 694 (24 mai 1991). Résolution 799 (18 décembre 1992). Il va menacer la France, qui s'est abstenue, de lui couper les vivres s'ils n'acceptent pas cette résolution. Il s’agit dans cet article d’analyser pourquoi, après une période d’espoir, le conflit israélo-palestinien a abouti à … »[26]. Nous avons, a rappelé Israël, accepté la résolution du 29 novembre 1947 sur la partition de la Palestine. Israel : Évolution des frontières, du partage de l'ONU aux accords d'Oslo (1947-1993) Ils ne peuvent pas négliger non plus les pressions du gouvernement américain qui appelle à l’ouverture de la Palestine à l’immigration juive et qui soutient la relance de l’économie britannique endettée par la guerre. Les travaux du comité, sous la présidence d'Emil Sandström, débutent durant l'été par un voyage de cinq semaines en Palestine. Elle est prête à accepter un partage du pays (comme proposé dans le Plan Peel de 1937) mais refuse le projet de cantonisation qui ferait du pays une fédération (comme proposé par le Plan Morrison-Grady). Comment se fait-il que la propagation massive de la propagande sioniste qui appelle à la colonisation juive «. Les souffrances subies par les Juifs au cours de la dernière guerre doivent constituer un élément important dans la décision de l’Assemblée. Plusieurs aliyahs de plus en plus importantes se succèdent : 10 000 Juifs immigrent en Palestine fin du XIXe siècle, 35 000 entre 1903 et 1914 et 35 000 de nouveau entre 1919 et 1923. 22 octobre 1973 : le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 338 qui appelle à un cessez-le-feu et à des négociations. Il y eut cependant une forte opposition de la part des plus nationalistes, en particulier (mais pas exclusivement) de droite. Les représentants arabes palestiniens refusent de prendre part une fois de plus à des débats sur la question. Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine mandataire élaboré par l’UNSCOP a été approuvé avec 33 voix en faveur, 13 contre et 10 abstentions, à l’Assemblée Générale de l’ONU. Dans un discours, le représentant soviétique Semyon Tsarapkin déclara : « Les arguments historiques et juridiques ne peuvent pas et ne doivent pas être décisifs dans le règlement de la question palestinienne. Ce plan prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création « Le temps n’est plus aux discours et aux paroles. Celui-ci visait à englober le maximum de villages juifs à l'intérieur de l'État juif, mais la réciproque n'était pas respectée. Le vote à l'ONU du Plan de Partition, le 29 novembre 1947 (Crédit : Government Press Office, Jerusalem) De nombreux Israéliens ont fêté mercredi tel un « … Le nouveau Yichouv et les communautés juives sionistes accueillent favorablement ce vote mais les Arabes palestiniens et l'ensemble des pays arabes qui militaient pour la constitution d'un État arabe sur toute la Palestine rejettent la résolution. La conséquence immédiate en sera le déclenchement d'une, Pour les mouvements sionistes, ce vote de novembre 1947, rejeté par les dirigeants arabes, est une énorme victoire, car ce partage est la reconnaissance de la fondation du nouvel État d'. Selon le Plan de partage, l’État juif comprenait la plaine côtière entre Haïfa et Rehovot, l’est de la Galilée et le désert du Neguev, avec l’avant-poste de Umm Rashrash au sud (actuellement Eilat). » Le monde arabe appelle à la guerre, comme en témoigne le quotidien nationaliste égyptien Balagh : « L’heure de la lutte a sonné. La convergence entre Soviétiques et Américains, les deux grandes puissances en conflit, fait sensation. Les mouvements sionistes de droite, l’Irgoun et le Lehi, critiquent toutefois vigoureusement le partage. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale de l’ONU adopte la résolution 181 sur le partage de la Palestine, alors sous mandat britannique, et la création de deux Etats, l’un juif et l’autre arabe, Jérusalem ayant un statut international. À créer les conditions nécessaires au maintien de la justice et du respect des obligations nées des traités et autres sources du droit international, À favoriser le progrès social et instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande, et à ces fins. Pour cela, nous utilisons les technologies mises à disposition par certains acteurs publicitaires. En lieu et place, les Britanniques adoptent, en 1939, le troisième Livre Blanc qui abandonne l’idée de la partition des territoires du mandat en faveur d’un État indépendant palestinien gouverné par les Arabes et les Juifs et limitent de façon draconienne l’immigration juive vers la Palestine[13]. – M, Rassemblement à Toulouse pour les Palestiniens: solidarité populaire et défiance politique, «A Jérusalem, les jeunes Palestiniens ont brisé la barrière de la peur», Candidate voilée: ses colistiers raillent les vieux politiciens parisiens. L’Assemblée générale de l’ONU lors du vote de la résolution sur la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël par les États-Unis, hier, à New York. Il n’y a pas de compromis possible sur ce point. Depuis 1944, ils mènent une lutte armée sur fond d’attentats, d’assassinats et d’enlèvement contre les Britanniques et les Arabes et annoncent qu’ils vont continuer celle-ci. Il indique que le mandat doit se terminer aussi vite que possible. Les Arabes, majoritaires en Palestine, s’opposent à cette immigration croissante[9]. Seit 1922 hatte der Völkerbund die Schaffung einer nationalen Heimstätte für Juden (Jewish National home) in Palästina im Völkerbundsmandat für Palästina festgeschrieben. Les premières violences éclatent en 1920 et 1921 lors des émeutes de Jérusalem et des émeutes de Jaffa. L’Agence juive base ses revendications sur la Déclaration Balfour de 1917 et sur les termes du Mandat britannique. Résolution 242 du Conseil de sécurité de l'ONU, 22 novembre 1967. nécessaire]. 10 000 Juifs seraient alors dans l’État arabe. Dès la fin des années 1920, l’immigration s’intensifie encore avec l’arrivée des Juifs fuyant les persécutions en Europe. La première est la création d’un État juif et d’un État arabe indépendants, avec la ville de Jérusalem placée sous contrôle international. À pratiquer la tolérance, à vivre en paix l'un avec l'autre dans un esprit de bon voisinage. Il annonce en février 1947 son intention de remettre son mandat à l'ONU. La première partie du plan précise les dispositions de la fin du mandat britannique, du partage et de l’indépendance des entités. Résolution 338 du Conseil de sécurité de l'ONU, (22 octobre 1973). À proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité de droits des hommes et des femmes, ainsi que des nations, grandes et petites. es, mesure d’audience anonymisée, envoi des notifications push, suivi des pannes, mise en avant de nos services : ces outils sont nécessaires au suivi de l’activité de nos services et à leur bon fonctionnement. L’Agence juive, organe politique officiel représentant les Juifs de Palestine, a fortement milité pour le Plan de partage et le vote des Nations unies y est accueilli avec joie et réjouissances. Certains mouvements sionistes libéraux menés par Magnes ne s’opposent pas au partage mais lui auraient préféré le plan minoritaire visant à la mise en place d’un État binational fonctionnant sous la forme d’une fédération et où les droits de tous auraient pu être respectés. La population juive ou Yishouv (mot hébreu désignant la population juive de Palestine avant 1948) possède 7 % de la propriété foncière. Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jér La mise en place de l’Etat d’Israël par l’ONU, s’est faite en 1947 contre l’avis des pays arabes directement concernés. Merci 39. À unir nos forces pour maintenir la paix et la sécurité internationales. […] L’ONU ne saurait contraindre 80 millions d’Arabes et 400 millions de musulmans à accepter un projet qu’ils rejettent. Mai Comment a t il pu se faire que les crimes commis en Europe contre la communauté juive aient engendré dans des conditions iniques la création de l’Etat d’Israël au détriment du peuple palestinien ? Avant la résolution 80 de la charte de L’ONU il y a Ezekiel 36 de la Bible, qui il y a 2600 ans annonce, prophétise qu’Israel serait restaurée que l’on soit content ou pas. Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes. Mais ils ne peuvent plus assumer les coûts financiers et humains de la gestion de la situation : 100 000 soldats britanniques sont stationnés en Palestine, soit 10 % de leurs effectifs totaux, et les attentats de l’Irgoun et du Lehi font de nombreuses victimes parmi leurs hommes ; pour des raisons morales, ils ne peuvent réprimer les activistes juifs comme le demandent leurs militaires sur le terrain de la même manière qu’ils l'ont fait face aux Arabes lors de leur révolte dix ans plus tôt. L’ONU avait proposé en 1947 un plan de partage de la Palestine sous mandat britannique en deux Etats, l’un juif et l’autre arabe. Source : Ministère israélien des Affaires étrangères Le 25 novembre 1947 la votation est relancée à l'ONU. La seconde consiste en la création d’un seul État fédéral, contenant à la fois un État juif et un État arabe. La Résolution 181 fut adoptée par l’Assemblée Générale de l’ONU le 29 novembre 1947, avec 33 pays votant en faveur, 13 pays votant contre et 10 pays s’abstenant. Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies. 55 % du territoire total, 80 % des terres céréalières et 40 % de l'industrie de Palestine sont récupérés par la communauté juive, La très grande majorité des Arabes vivant en Palestine et la totalité des États arabes, rejetèrent ce plan .Sur le principe, ils rejetaient toute division de la. De son côté, si le mouvement sioniste se réjouit du soutien inattendu des Soviétiques (historiquement très antisionistes), David Ben Gourion n’envisage nullement une alliance préférentielle avec Moscou. Entre cette date et … Le plan de partage était de trop. Après étude du dossier, l’UNSCOP dégage deux options. Israël et le plan de partage de l'Onu (1947) Résolution 181. Ceci étant confirmé par, d’une part les déplacements des populations allemandes dans les pays de l’Est de l’Europe avalisées par l’ONU et d’autre part, bien sûr, par la création l’Etat d’Israël qui ne pouvait être que source de conflits avec les Palestiniens chassés, sans ménagements de leurs terres par les « nouveaux colons » juifs rameutés par le mouvement sioniste, un mouvement terroriste qui a imposé ses ambitions de conquête de la Palestine, clairement affichées, dès les années 40 et confirmés par les guerres successives engagées par Israël de 1948 à 1967, au. À accepter des principes et instituer des méthodes garantissant qu'il ne sera pas fait usage de la force des armes, sauf dans l'intérêt commun. Il est inadmissible : Que Loi de Moïse ou la Torah puisse avoir une quelconque prévalence sur le Droit international. Tandis que l’Agence juive en accepte les conclusions comme base de discussion, l’Irgoun et le Haut Comité arabe les rejettent. résolution 181 adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre 1947, recommande le partage de la Palestine entre un État juif et un État arabe, en proposant pour les Lieux saints un « corpus separatum Résolutions de l’Onu non respectées par Israël. Là, le représentant soviétique reconnaît le droit des Juifs à l'autodétermination et suggère, au cas où la solution d'un État unifié serait impraticable, d'avoir recours à la partition[18]. LA CREATION d’ISRAËL: Une énigme ! L’Assemblée générale des Nations unies ne fit que recommander au Conseil de sécurité par un vote au nombre inférieur au deux tiers réglementairement exigé de tous les présents, y compris donc ceux qui se sont abstenus , l'application de la version la plus sioniste des recommandations de l'UNSCOP. La diplomatie, en particulier américaine, intervient. M. DANNY BEN YOSEF DANON (Israël) a rappelé que c’est le 29 novembre 1947 que l’Assemblée générale a adopté la résolution 181 sur le plan … Source : Ministère israélien des Affaires étrangères En 1917, la déclaration Balfour officialise le soutien du gouvernement britannique à l’établissement d’un foyer national juif en Palestine. Apres la seconde guerre mondiale, beaucoup de juifs essayent d’entrer clandestinement en Palestine pour chercher refuge, les anglais empêchent ces derniers d’arriver. Son secrétaire, Abd al-Rahman Azzam Pacha, affirme : « Le temps n’est plus aux discours et aux paroles. , le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'U.N.SCOP (United Nation Special Comitte on Palestine) est approuvé par l'Assemblée Générale de l', (résolution 181 de l'assemblée générale). La dernière modification de cette page a été faite le 7 mars 2021 à 00:23. La zone internationale centrée sur Jérusalem compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes. Les Etats-Unis, mécontents du résultat, vont faire pression sur les "petites" nations récalcitrantes au projet en leur octroyant des prêts (Haïti), ou encore avec des menaces de faire partir les industries (Libéria) afin de les obliger à accepter la résolution malgré leurs convictions. Ce plan, destiné à résoudre le conflit entre, , propose le partage de ce territoire entre deux États, l'un juif, l'autre arabe, avec, sous contrôle international. La première guerre israélo-arabe (1948-1949) permet à l’Etat hébreu victorieux d’élargir son territoire. The resolution recommended the creation of independent Arab and Jewish States and a Special International Regime for the city of … Le 25 novembre 1947 la votation est relancée à l'ONU. Un comité est créé à l’ONU pour continuer les travaux et des modifications sont apportées au projet initial : les villes arabes de Jaffa et Beersheba sont retirées de l’État juif pour diminuer l’ampleur de sa minorité arabe qui passe ainsi de 405 000 à 325 000 habitants et la date de fin du mandat est fixée à « au plus tard le 1er août »[25]. Elle ne réclame pas son transfert du futur « État juif » (comme proposé dans le Plan Peel, et défendu en coulisse par Chaim Weizmann[réf. Ils ne reconnaissent pas le droit aux Nations unies de trancher la question. qu'ils appelaient de tous leurs vœux.

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