Le 17 octobre, un arrêté du Comité de salut public l'envoie en mission avec Saint-Just à l'armée du Rhin ; un décret de la Convention, en date du 22 octobre, confirme cette nomination. GFA DOMAINE ST JOSEPH LE BAS, groupement foncier agricole est en activité depuis 38 ans. If you are on a personal connection, like at home, you can run an anti-virus scan on your device to make sure it is not infected with malware. He married Elisabeth Duplay, daughter of Maurice Duplay, Robespierre's landlord in Paris, and their son was Philippe Le Bas (1794–1860), who would be Louis-Napoléon Bonaparte's preceptor until 1827 then director of the library of the Sorbonne (from 1844 to 1860), a member of the Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (1838–60) and president of the Institut de France (from 1858). La dernière modification de cette page a été faite le 23 mai 2020 à 16:42. A member of the Committee of General Security, he was among those close to Robespierre, Couthon, and Saint-Just, who had a brief and discreet relation with his sister Henriette. Remplacé par Nicolas Hentz le 21 août suivant[10], il intègre, à son retour, la commission de révision des lois sur les émigrés, le 13 septembre, puis le Comité de sûreté générale, le lendemain[8]. Après son mariage, Philippe Le Bas garde auprès de lui la plus jeune de ses sœurs, Henriette, qui se fiance avec Saint-Just[14]. Indication du costume de délégué aux armées de la République. Joseph Gustave Le BAS du PLESSIS 1808-(pages liées) Notes Notes individuelles. The mayor of the Commune ordered the janitors to refuse any member of the Convention. Cloudflare Ray ID: 5e6bfc416cbbfaf6 10 Audebert J (LE BAS BOURG) Audebert J (LE BAS BOURG) 2 r Creuzette, 86290 SAINT LEOMER. • Arbre d'ascendance Arbre de descendance. Philippe-François-Joseph Le Bas (4 November 1764, Frévent, Pas-de-Calais – 28 July 1794, Paris) was a French politician. You may need to download version 2.0 now from the Chrome Web Store. De retour à Paris le 25 pluviôse (13 février)[10], il est élu président du club des Jacobins[8]. Performance & security by Cloudflare, Please complete the security check to access. Le 26 août 1793, il épouse Élisabeth Duplay (1773-1859)[8], fille cadette de Maurice Duplay, logeur de Robespierre à Paris. Toutefois, quand les locaux sont investis par les troupes de la Convention, le matin du 10, il se suicide d'un coup de pistolet. « Textes oubliés », 2018 (ISBN 978-2-490135-00-4, lire en ligne), p. Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Philippe-François-Joseph_Le_Bas&oldid=981958028, Deputies to the French National Convention, Articles with French-language sources (fr), Wikipedia articles with SELIBR identifiers, Wikipedia articles with SNAC-ID identifiers, Wikipedia articles with SUDOC identifiers, Wikipedia articles with WorldCat identifiers, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 5 October 2020, at 11:27. A discreet, cold, and loyal representative, he voted for King Louis XVI's death and against the sentence at his trial (i.e., against the people's appeal). Au-dessous du dessin, de la main de l'artiste, est écrit : Député a la Convention. », Académie des inscriptions et belles-lettres, Philippe Buchez et Pierre-Célestin Roux-Lavergne (1837), Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, Déclaration de guerre de la France au roi de Bohême et de Hongrie, François Alexandre Frédéric de la Rochefoucauld, Liste des personnalités de la Révolution française, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Philippe-François-Joseph_Le_Bas&oldid=171205252, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des bases relatives à la vie publique, Portail:Révolution française/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Politique française/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Le Bas and Duquesnoy were delegated to the armée du Nord in August 1793, and Le Bas proceeded with the arrest of generals Richardot and O'Moran for inability. Since 1 June he was appointed as the director of the "École de Mars", formerly known as the École Militaire. Lié d'amitié à Maximilien de Robespierre, qu'il fréquente chez les Duplay depuis juillet 1791, il se montre discret et fait peu d'interventions. De retour à Paris au plus tard le 17 nivôse (6 janvier 1794), ils rejoignent ensuite l'armée du Nord, où Saint-Just a été nommé par arrêté du Comité de salut public du 3 pluviôse (22 janvier)[10], pour contrer les armées autrichiennes, qui tentent un retour après la Bataille de Wattignies. Informations sur la société GROUPEMENT FONCIER AGRICOLE DE SAINT JOSEPH LE BAS: chiffre d’affaires, résultat net, kbis, siren, rcs, siège social, forme juridique, secteur d’activité avec Infogreffe. De passage dans la capitale entre le 14 et le 20 frimaire an II (4-10 décembre), ils voient leurs pouvoirs étendus à l'armée de la Moselle par un arrêté du comité de salut public du 19 frimaire (9 décembre)[10]. Durant cette mission, ils ordonnent, par l'arrêté du 16 pluviôse (4 février)[12], l'arrestation, comme « suspects », de tous les nobles du Pas-de-Calais, du Nord, de la Somme et de l'Aisne[8]. Envoyé en mission à l'armée du Nord par décret du 2 août 1793 avec Duquesnoy[10], il procède à l'arrestation des généraux Richardot et O'Moran pour incapacité. Il laisse une postérité naturelle, au nombre de laquelle figure le député Philippe Dauzon (1860-1918). When the anti-Robespierristes under Barras and Léonard Bourdon broke into the main room of the townhall (where Le Bas had taken refuge with Maximilien Robespierre, Augustin Robespierre, St-Just and Couthon) LeBas committed suicide by pistol in the early morning of 10 Thermidor. Saint-Just and Le Bas were also later sent to reorganize the armée du Nord by the Committee of Public Safety in the face of an attempted return by Austrian forces after Wattignies - it was this reorganisation that made possible the victory at Fleurus. De 1838 à 1860, Philippe Le Bas fils est membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et, en 1858, président de l'Institut de France. • The son of a notary, intendant to the prince de Rache, avocat to the parliament of 1789, companion and collaborator of Saint-Just, Le Bas was elected député to the National Convention for the Pas-de-Calais in 1792, sitting among the Montagnards. Étude très arrêtée du médaillon du Conventionnel, décrit dans l'Inventaire de 1885, (p. 167). 11 Lebas J Lebas J 46 r Louis Aragon, 95340 BERNES SUR OISE. Il suit des études au collège de Montaigu, à Paris, puis devient clerc chez Dreu, procureur au Parlement. En février 1790, il s'installe à Frévent, à la demande de son père, déjà âgé, afin de le seconder[6], où il rejoint la garde nationale. Rentré à Paris le 12 prairial (31 mai), il est nommé avec Hentz à l'armée du Rhin et Moselle par arrêté du Comité de salut public ; mais seul Hentz s'y rend, car un arrêté du Comité le désigne, deux jours plus tard[10], comme l'un des deux directeurs de l'École de Mars[8]. Siégeant à partir du 21 septembre, lendemain de son arrivée dans la capitale, il se montre d'abord proche des opinions girondines, mais rejoint bientôt les Montagnards, votant la mort sans sursis et contre l'appel au peuple lors du procès de Louis XVI[8]. Le 10 floréal (29 avril), un arrêté du comité de salut public le renvoie avec Saint-Just à l'armée du nord[10], où la sévérité de leurs mesures contre les nobles engendre un conflit avec Carnot ; ils instituent une commission militaire jugeant révolutionnairement, sans défense ni appel[8]. Another way to prevent getting this page in the future is to use Privacy Pass. Toutes les informations de la Bibliothèque Nationale de France sur : Philippe-François-Joseph Le Bas (1762-1794) Son corps est levé à 7 heures du matin et porté au cimetière de Saint-Paul, dans la section de l'Arsenal[13]. Philippe-François-Joseph Le Bas (4 November 1764, Frévent, Pas-de-Calais – 28 July 1794, Paris) was a French politician. Après la chute de la royauté, il est élu électeur, à la fin d'août 1792, puis député du Pas-de-Calais à la Convention nationale, le 4e sur 11, par 515 voix sur 775 votants[9], le 6 septembre 1792. Societe.com recense 1 établissement et le dernier événement notable … Arrêté, interné à la prison de La Force, il est délivré par les commissaires de la Commune de Paris, qui le conduisent à l'hôtel de ville. LeBas, as well as the others gathered in the Hôtel de Ville on 9 Thermidor. He and Saint-Just were made the Convention's commissioners to the armies and set out on this mission to eastern France, where he reorganized the army after its reverses at Wissembourg. Afficher le n° Afficher le n° Plan; Itinéraire; Tél : Opposé aux opérations de marketing direct 01 30 34 12 24 . : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Le 14 juillet 1790, il est l'un des gardes nationaux délégués par le département du Pas-de-Calais à la fête de la Fédération de la capitale. The five deputies were taken to the Committee of General Security, questioned and then escorted to different prisons; LeBas to the Conciergerie. Les deux hommes demeurent trois mois en Alsace, y assurant la réorganisation et la démocratisation de l'armée, après le revers de Wissembourg ; ils font des réquisitions de grains, de fourrages et d'habits, mettent en place le maximum, lèvent un emprunt forcé sur les riches, épurent les autorités locales et militaires — notamment les administrateurs de la Meurthe, traduits au Comité de sûreté générale par l'arrêté du 22 brumaire (12 novembre), sur la plainte d'administrateurs des subsistances, pour n'avoir « fait qu'avec mollesse, et pour éluder la responsabilité, [les réquisitions des représentants en mission] pour obtenir les contingents en grains et fourrages », et sur la conviction « qu'il existe, parmi quelques administrations, une coalition pour affamer l'armée »[11] —, distribuent des secours à l'attention des indigents, convoquent à Strasbourg une assemblée des représentants des sociétés populaires de France, etc.[8]. Sa veuve se remarie à Paris le 20 nivôse an VII (9 janvier 1798) avec Charles Le Bas (1772-1829), son frère cadet[15], commissaire général à Lorient[16] et avec lequel elle a deux autres enfants : Charles, nommé bibliothécaire à la bibliothèque de la Sorbonne le 1er janvier 1847 grâce à son demi-frère[17], et Caroline. Né le 4 novembre 1764 à Frévent, Philippe Le Bas est l'un des seize enfants d'Ange-François Le Bas (né en 1723), alors administrateur des biens du prince de Rache, puis directeur des postes et notaire dans cette ville[4], et d'Augustine Antoinette Guislaine Hémery[5] (décédée en 1789). Philippe Le Bas est un révolutionnaire français, né le 4 novembre 1764 à Frévent dans le Pas-de-Calais, mort par suicide à Paris le 28 juillet 1794. La réorganisation de l'armée qu'ils mènent permet la victoire de Fleurus sous la houlette du général Jean-Baptiste Jourdan. Licencié en droit le 3 avril 1789, il est reçu avocat quelques jours plus tard. Et en fac-similé, à deux reprises : Le Bas. Il est élu administrateur du district de Saint-Pol durant le cours de l'année 1791, puis, à la suite d'un succès au barreau d'Arras — la défense d'« un vieux maréchal des logis au 8e régiment de cavalerie, du nom de [Nicolas] Berceau, [...] déféré à la cour martiale d'Arras [sous la fausse accusation] d'insubordination »[7] —, membre du Conseil général du département en décembre de la même année. Joseph apparaît aussi dans un texte plus tardif, le Protévangile de Jacques, composé au milieu du IIe siècle ; cette version est incompatibl… Après sa mort, son père, administrateur du district de Saint-Pol, son épouse Élisabeth et son fils Philippe sont emprisonnés plusieurs mois[8]. If you are at an office or shared network, you can ask the network administrator to run a scan across the network looking for misconfigured or infected devices. Your IP: 161.129.66.130 Completing the CAPTCHA proves you are a human and gives you temporary access to the web property. Fidèle à Robespierre jusqu'à la fin, le 9 thermidor, lorsque Augustin de Robespierre demande à partager le sort de son frère aîné, Philippe Le Bas l'imite. De cette union naît un fils unique, Philippe Le Bas (1794-1860), qui deviendra le précepteur de Louis-Napoléon Bonaparte jusqu'en 1827 puis, de 1844 à 1860, directeur de la bibliothèque de la Sorbonne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Faithful to Robespierre, Augustin Robespierre and Le Bas demanded to share his fate. Afficher le n° Afficher le n° Plan; Itinéraire; Mobile : 06 73 41 66 85 . Joseph Le Bon, « Lettres de Le Bon à Robespierre, Le Bas, Saint-Just et autres écrits du conventionnel », dans G. Lenotre, Lucien Misermont et Hector Fleischmann, Le Conventionnel Joseph Le Bon, s. l., Bibliothèque du Bois-Menez, coll. Ancien élève de l'Ecole Royale Militaire de Saint-Cyr, 10e promotion "1827-1829" / Athéna Photos & documents {{ media.short_title }} {{ media.date_translated }} Rechercher les actes correspondants Aperçu de l'arbre . Joseph (יוסף (Yosef) en hébreu ; Ἰωσήφ (Ioséph) en grec) est un personnage juif qui apparaît pour la première fois dans l'Évangile selon Matthieu et dans l'Évangile selon Luc : il s'agit de passages sans doute ajoutés ultérieurement et appelés les évangiles de l'enfance de Jésus (Mt 1,18 et Lc 2,3). Dessin à la mine de plomb sur papier calque de Philippe Le Bas, exécuté par, « fait qu'avec mollesse, et pour éluder la responsabilité, [les réquisitions des représentants en mission] pour obtenir les contingents en grains et fourrages », « qu'il existe, parmi quelques administrations, une coalition pour affamer l'armée », « Tête de profil à gauche, coiffée d'un bonnet [en fait, un bicorne] militaire, décoré d'une cocarde. Adhérent au club des Jacobins, il en est l'un des principaux animateurs au printemps et à l'été 1792[8].
Joséphine Japy Compagnon, Cathédrale Troglodyte, Seine Alliance, Nazim Origine, La Mayenne - Carte, île Dominique, Psg Féminin Mercato, France Antilles Martinique Avis De Décès, Plateau Frac île-de-france, Trap Nation Submit,
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