Au Néolithique, entre 9000 et 3300 ans avant notre ère, les hommes commencent à cultiver la terre et domestiquent des animaux qui, pour certains, devienn… ), 24 % des transports, 19 % de l'industrie, 6 % des logements et 3 % du secteur tertiaire ; mais après ré-allocation des émissions de la production d'électricité et de chaleur aux secteurs consommateurs, la part de l'industrie passe à 37 %, celle des transports à 25 %, celle des logements à 16 % et celle du secteur tertiaire à 10 %[28]. En 2016, pour la première fois, les investissements mondiaux dans le pétrole et le gaz sont tombés au-dessous de ceux dans l'électricité ; ils ont baissé de 38 % entre 2014 et 2016 ; les investissements bas carbone dans la production et le transport d'électricité ont progressé de 6 %, atteignant 43 % des investissements totaux dans l'énergie ; les investissements dans le charbon ont chuté d'un quart en Chine ; les mises en service de centrales charbon ont baissé fortement de 20 GW au niveau mondial, et les décisions d'investissement prises en 2016 sont tombées à 40 GW seulement ; dans le nucléaire, 10 GW ont été mis en service mais seulement 3 GW ont été décidés. De l'énergie finale à la consommation finale en 2012 (d'après données du Key World Energy Statistics 2014). l'énergie nucléaire pourrait devenir quasiment inépuisable si l'on utilisait les filières de, l'énergie solaire est très peu concentrée, ce qui pose des problèmes économiques de rentabilité et d'espace ; de plus, l'irrégularité de sa production pose le problème du, l'énergie nucléaire pose des défis techniques et des problèmes de sûreté et de. Au total, la part des énergies renouvelables dans la production d'énergie mondiale est donc supérieure à 20 %. Des analyses statistiques plus fines indiquent que la relation est bien établie pour les pays intermédiaires après des corrections statistiques délicates. Les réserves mondiales prouvées d'énergie non renouvelable (combustibles fossiles et énergie nucléaire) pouvaient être estimées en 2019, selon BP et WNA, à 1 187 milliards de tonnes d'équivalent pétrole (tep), soit 85 ans de production au rythme actuel. Elle se répartissait en 32,3 % de pétrole, 28,3 % de charbon, 24,0 % de gaz naturel, 4,4 % de nucléaire et 11,5 % d'énergies renouvelables (hydroélectricité 6,8 %, éolien 2,1 %, biomasse et géothermie 1,0 %, solaire 0,95 %, agrocarburants 0,6 %). Le graphique ci-dessous montre que l’intensité énergétique du monde diminue de 1% par an environ, ce qui est une amélioration de l’efficacité de l’usage de l’énergie : on produit plus avec moins d’énergie. Corpus ID: 178577063. Voir : C… La source d'énergie la plus consommée dans le monde après les énergies fossiles est l'énergie hydraulique (6,8 %). La consommation par habitant en Chine est maintenant égale à la consommation par habitant dans le monde. Mais il suffirait de couvrir 0,3 % des 40 millions de km2 de déserts de la planète de centrales solaires thermiques pour assurer les besoins électriques de la planète en 2009 (environ 18 000 TWh/an)[15]. Vers 400 000 avant notre ère, les hommes préhistoriques apprennent à utiliser du bois pour faire du feu : ils peuvent désormais se chauffer, s’éclairer, faire cuire leur nourriture et éloigner d’eux les bêtes sauvages ! La production mondiale d'énergie commercialisée était en 2019, selon BP, de 584,9 Exajoules, en progression de 12,1 % depuis 2009. L'UE veut aussi renforcer l'accès pour tous à l'information individuelle sur nos consommations d'énergie (dont pour le chauffage collectif, la climatisation et l'eau chaude). L'institut allemand des sciences de la Terre et des matières premières (BGR) classe en 2017 les réserves mondiales en quatre catégories[13] : Les deux premières catégories forment les réserves découvertes : 6 465 kt. La part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique de la France a progressé d’environ 4 points sur les dix dernières années (7,8 % en 2009). dernière modification le 08 septembre 2015. Cela correspond à la quantité de pétrole qui serait nécessaire pour produire cette énergie électrique dans une centrale thermique dont le rendement est pris, ici et dans la référence BP, comme égal à 40 %[p 8]. La diminution de la part de l’alimentation dans le budget total de la consommation provient du fait que la consommation d’alimentation a moins augmenté en volume que les autres catégories de biens et de services (1,4 %) alors que la consommation totale par habitant a augmenté en volume de 2,5 % par an. Évolution des énergies renouvelables de 1990 à 2017 en France : + 70 %. La production mondiale d'énergie commercialisée était en 2018, selon BP, de 13 865 Mtep, en progression de 18,5 % depuis 2008. Enfin, dans les pays intermédiaires, dont la Chine et l’Inde, l’appétit pour les produits de confort fait croître la part de la consommation résidentielle dans le total (hors production exportée), malgré le coût relatif élevé de l’énergie. Notons toutefois que la consommation d’énergie par habitant de l’Inde devrait alors encore rester 40% en dessous de la moyenne mondiale en 2040. En revanche, la différence est très importante si ce carburant est converti en énergie mécanique (puis éventuellement électrique), puisque le rendement de ce processus est au maximum de l'ordre de 40 % (p. Les énergies renouvelables sont par définition « inépuisables à l'échelle du temps humain »[14]. En savoir plus Consommation mondiale d'énergie primaire entre 2005 et 2018, par type de combustible (en millions de tonnes d'équivalent pétrole) L'Institut national de la statistique et des études économiques (France) et le ministère français de la Transition écologique et solidaire ont chiffré les émissions totales des Français à 11,1 tonnes de CO2 par personne en 2012, un chiffre nettement supérieurs à l'émission de gaz à effet de serre par habitant sur le territoire national[27]. En juin 2018, Miguel Arias Cañete (commissaire européen à l'énergie) a annoncé que l'Union européenne (1er importateur d'énergie fossile dans le monde) a annoncé un objectif de diminution de près d'un tiers sa consommation d'énergie avant 2030 (−32,5 % soit −0,8 % d'économie par an), mais l'objectif est non-contraignant. La production et la consommation d’énergie sont au cœur d’enjeux scientifiques mais également économiques et politiques. Pour cela la législation sur la construction des bâtiments et sur les énergies renouvelables a été précisée et l'UE envisage de pousser à améliorer l'efficacité énergétique des appareils électro-ménagers et des chauffe-eau. La France ou la Suède visent déjà −35 %. Ces chiffres rendent compte des émissions de chaque pays mais n'intègrent pas les gaz à effet de serre induits par la production des produits importés ou exportés. Selon le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, « les renouvelables font de très grands progrès sur les prochaines décennies mais leurs gains restent largement confinés à la production d'électricité. Ces statistiques prennent en compte l'énergie solaire photovoltaïque et les centrales solaires thermodynamiques, qui sont incluses dans la production 2019 pour environ 12 TWh dont 4,5 TWh aux États-Unis, 5,7 TWh en Espagne, 1,55 TWh en Afrique du Sud et 0,2 TWh aux Émirats arabes unis (voir Liste des centrales solaires thermodynamiques). Les auteurs y ont réunis toutes les séries chronologiques connues sur la production de houille, lignite (browncoal), gaz naturel, pétrole brut et électricité, en unités spécifiques puis en tonnes équivalent charbon (tec). », alors il faut multiplier par 2,5. Ainsi la consommation par habitant reste-t-elle très variable d’un pays à l’autre, comme le montre le graphique suivant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Scénario 3 : L'énergie suit le tendanciel de forte augmentation du prix de l'énergie de 8% /an. Exemple. La liste ci-dessous, tirée des statistiques de l'AIE, ne prend en compte que les pays de plus de 50 millions d'habitants ainsi que les pays européens de plus de 10 millions d'habitants ; les statistiques de l'AIE englobent la quasi-totalité des pays du monde. Afin de retrouver la part de chaque source primaire dans la consommation finale, il convient de reventiler les consommations d'électricité et de chaleur selon leur source primaire : La consommation d'énergie a progressé un peu plus rapidement que la population (+59 % contre +44 %), mais sa répartition par source d'énergie est restée très stable : la part des fossiles n'a baissé que de 0,3 points et celle du nucléaire de 0,3 points, et celle des énergies renouvelables n'a progressé que de 0,5 points, car le développement très rapide de la plupart d'entre elles a été en grande partie compensé par le recul de la part de la biomasse : −2,0 points. La consommation finale énergétique mondiale a progressé de 109 % en 44 ans, de 1973 à 2018 ; elle s'élevait en 2018, selon l'Agence internationale de l'énergie, à 9 938 Mtep, dont 19 % sous forme d'électricité ; depuis 1990, elle a progressé un peu plus vite que la population, mais sa répartition par source d'énergie n'a guère évolué : la part des énergies fossiles a reculé de 0,3 points, mais leur domination reste massive : 82 % ; la part des énergies renouvelables (EnR) n'a progressé que de 0,5 points, passant de 15,5 % en 1990 à 16,0 % en 2018, car le recul de la part de la biomasse compense en partie la progression des autres EnR. Joe Biden : la réintégration des États-Unis dans l’accord de Paris, et après ? À notre connaissance, le seul annuaire statistique couvrant tous les pays du monde, sur une période sensiblement la même (1800-1985) que celle retenue ici, est celui qu’ont dirigé Paul Bairoch et Jean-Claude Toutain. Pour aboutir à ce résultat, il faut globalement s'abstenir d'extraire un tiers des réserves de pétrole, la moitié des réserves de gaz et plus de 80 % du charbon disponibles dans le sous-sol mondial, d'ici à 2050. Cette statistique sous-évalue la part des énergies renouvelables électriques (hydroélectricité, éolien, photovoltaïque) : cf. Sa répartition par secteur était : industrie 29 %, transports 29 %, résidentiel 21 %, tertiaire 8 %, agriculture et pêche 2 %, usages non énergétiques (chimie, etc.) Ces objectifs pourraient éventuellement être revus à la hausse en 2023, mais il « restera dans les livres d'histoire comme une opportunité manquée malgré les meilleurs efforts du Parlement européen et de plusieurs Etats membres progressistes » juge Imke Lübbeke du WWF (citant l'Italie et l'Espagne qui ont poussé à plus d'ambition)[23]. négociations internationales sur le climat, Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques, préfixes du Système international d'unités, Statistiques de production mondiale d'électricité, Liste des pays par production d'énergie nucléaire, Statistiques mondiales de production et puissance installée éolienne, Statistiques mondiales de production solaire photovoltaïque, Liste des centrales solaires thermodynamiques, Production mondiale d'énergie géothermique, Statistiques mondiales relatives aux réseaux de chaleur, Liste des pays par émissions de dioxyde de carbone par habitant, Institut national de la statistique et des études économiques, Potsdam-Institut für Klimafolgenforschung, BP Statistical Review of World Energy 2020 - 69th edition, Statistical Review of world energy - all data, BP Statistical Review of world energy - all data, « L’énergie solaire représente un potentiel équivalent à vingt fois la consommation mondiale annuelle » explique Isabelle Kocher, directrice générale d'Engie, Climate Change 2014 - Chapter 7 : Energy Systems, Le cas de l'hydroélectricité (World Atlas publié en 1997 par la revue "Hydro Power and Dams". Ces énergies primaires sont transformées en énergies secondaires : produits pétroliers raffinés dont les carburants automobiles, électricité… Cette transformation d’une énergie en une autre se fait toujours — c’est une loi fondamentale de la physique — avec une perte d’énergie, si bien que la transformation d’une énergie primaire en énergie secondaire « consomme de l’énergie primaire ». Ces nouvelles données d’intensité-carbone n’apportent pas d’explications significativement différentes des données d’intensité-énergie ; elles ont toutefois plus d’écho dans les opinions publiques de tous les pays du monde. Il montre bien qu'en dépit des chocs pétroliers, globalement, la consommation d'énergie primaire dans le monde augmente de façon ininterrompue. Intensité énergétique pour le monde en unités d’énergie consommées par $ US de PIB (©Connaissance des Énergies, d'après source : Energy Independant Agency). Les énergies fossiles représentaient 81,3 % de cette production (charbon : 26,9 %, pétrole : 31,6 %, gaz naturel : 22,8 %) ; le reste de la production d'énergie provenait du nucléaire (4,9 %) et des énergies renouvelables (13,8 %, dont 9,3 % de la biomasse, 2,5 % de l'énergie hydraulique et 2 % d'autres EnR)[s 1] ; la biomasse comprend le bois énergie, les déchets urbains et agricoles, les agrocarburants ; les autres EnR comprennent l'énergie éolienne, l'énergie solaire, la géothermie, etc. L'évaluation de leur potentiel se fait donc non en termes de réserves, mais en considérant le flux énergétique potentiel que peut fournir chacune de ces sources d'énergies. Les surfaces utilisables pour le solaire se limitent aux déserts, aux toits de bâtiments et autres surfaces déjà stérilisées par l'activité humaine (routes, etc). La satisfaction des besoins peut être directe, si l’énergie est consommée par un être humain au cours d’un usage domestique (se chauffer, travailler sur son ordinateur, se déplacer en voiture), ou indirecte si elle est utilisée dans la production de biens ou de services destinés à la consommation humaine. Les chiffres clés de la production d’énergie dans le monde, Chiffres clés de la consommation en France. Les économètres qui observent les effets des programmes se focalisent sur les émissions de dioxyde de carbone : les statistiques d’intensité énergétique sont maintenant doublées de statistiques d’intensité carbone. Pour donner une idée de la taille de cette production primaire, on peut dire que si cette énergie primaire était entièrement fournie par le pétrole, elle représenterait environ le contenu de 80 000 pétroliers de classe « Suezmax » (ayant une capacité de 120 000 à 190 000 tpl – tonnes de port en lourd – et dont la largeur inférieure à 77 m permet de passer par le canal de Suez). Evolution de la consommation finale et du PIB au Royaume-Uni (©Connaissance des Énergies, d'après données du Departement of Energy, juillet 2010). (©photo). Le classement est fondé sur la production 2019. La part de l’énergie nucléaire reste pour sa part relativement stable (4,4% en 2017). En effet, les modèles industriels sont globalement très énergivores dans nos sociétés. Or, la combustion de toutes les réserves prouvées de pétrole, charbon et gaz de la planète engendrerait 2 795 gigatonnes de CO2, soit cinq fois plus. Dans une étude de 2009, le Potsdam-Institut für Klimafolgenforschung démontrait qu'il ne fallait pas émettre plus de 565 gigatonnes de CO2 d'ici à 2050 pour avoir quatre chances sur cinq de ne pas dépasser la barre fatidique des 2 °C[31]. À eux seuls, les pays de l’OCDE et de la CEI, soit 1,44 milliard d’habitants (22,6% de la population mondiale), ont consommé 6,49 milliards de tep en 2004, essentiellement d’énergies commerciales, soit 58% de la consommation mondiale. L’augmentation découle notamment de la reprise du fret ferroviaire : + 13,9% , puis -6,7% en 2010. Lorsqu'il s'agit de convertir une énergie électrique exprimée en kWh (ou ses multiples) en énergie primaire exprimée en tep, on rencontre couramment deux méthodes : La méthode retenue par les institutions internationales (AIE, Eurostat...) et utilisée en France depuis 2002, est assez complexe en ce qu'elle utilise deux méthodes différentes et deux coefficients différents selon le type d'énergie primaire ayant produit l'électricité : Par contre, l'Energy Information Administration américaine et les statistiques de BP adoptent la méthode de substitution. Cette amélioration de l’efficacité énergétique est souvent attribuée à la pression politique sur les agents économiques liée aux programmes nationaux, régionaux ou mondiaux de lutte contre le réchauffement climatique. Dans le monde, la consommation de charbon utilisée pour produire de l’électricité croît au même rythme que la consommation globale d’électricité (2,8 %/an versus 3 %/an entre 2000 et 2017). Au sein de l’UE, la part des biocarburants dans la consommation totale de carburants destinés aux transports, devrait atteindre 6.3 % d’ici à 2020, en tenant compte de la double comptabilisation des biocarburants durables. Par exemple, le rendement d’une centrale électrique qui fabrique de l’électricité en brûlant du gaz et du charbon est de 30 à 50%. Selon le scénario de référence de l’EIA, la consommation mondiale d’énergie primaire pourrait ainsi augmenter de 46,9% entre 2018 et 2050. Ce fut un progrès fondamental pour l’évolution de l’humanité. Le graphique suivant montre ainsi le parallèlisme des gains en % par rapport à 1991 de l’intensité énergétique et de l’intensité CO2 : les différences entre les deux courbes montrent qu’elles décrivent fondamentalement la même tendance ; les questions de l’efficacité énergétique et du contrôle de l’émission de CO2 se sont confondues lors des 2 dernières décennies. Il vise l'indépendance énergétique de l'Europe, mais doit ensuite être approuvé par les États membres et les eurodéputés qui étaient plus ambitieux (−35 % par rapport au niveau de 1990). Ne tient pas compte des réserves secondaires (stocks civils et militaires, uranium appauvri,...) qui comptent pour plus d'1/3 de la consommation actuelle. La gestion de l'énergie. Réserves minières d'uranium prouvées. Il faudrait enfin oublier toute velléité d'exploiter les réserves d'énergies fossiles découvertes en Arctique et s'interdire d'accroître l'exploitation du pétrole non conventionnel (schiste bitumineux, huile de schiste, …)[29]. Il s'inscrit dans le cadre de l'accord de Paris (−40 % de GES émis d'ici 2030 pour l'UE) et du troisième volet du paquet « Énergie propre » proposé par la Commission fin novembre 2016. Mais elle est aussi un effet tendanciel des progrès technologiques et du jeu naturel des prix des énergies fossiles, indépendants des mesures contraignantes ou indicatives de ces programmes. Evolution de la consommation … Selon ces données, ce sont donc 80 % des réserves d'énergies fossiles actuelles qui ne doivent pas être extraites. Bien évidemment, seule une très petite part du potentiel solaire théorique peut être exploitée, car les terres cultivables resteront dédiées à l'agriculture, les océans seraient difficilement exploitables, et les zones proches des pôles ne sont pas économiquement exploitables. Il est vrai que les pays intermédiaires doivent faire face à la fois à une forte demande d’investissement en infrastructures, bâtiments et usines, à une forte demande de biens de consommation de la partie de leur population qui s’enrichit et parfois la délocalisation, par les pays anciennement développés, des industries gourmandes en énergie. Dans le secteur des transports, l’augmentation de la consommation en 2011 se démarque des baisses de ces dernières années (-1,1 % en 2009, -0,8% en 2008). Évolution de la consommation d'énergie dans le secteur des transports au Québec de 1990 à 1998 @inproceedings{Bernard2003volutionDL, title={{\'E}volution de la consommation d'{\'e}nergie dans le secteur des transports au Qu{\'e}bec de 1990 {\`a} 1998}, author={J Bernard and Nadhem Idoudi}, year={2003} } La consommation d’énergie finale est soit une consommation directe d’énergie primaire non transformée, comme le charbon brûlé sous les chaudières industrielles dans la chimie ou injecté dans les fours des cimenteries, soit une consommation d’énergie secondaire comme l’essence ou l’électricité. De façon plus précise, on peut chercher à mesurer comment les variations à court terme (d’une année à l’autre) du PIB influencent la consommation finale d’énergie dans les pays de l’OCDE. L'unité officielle d'énergie est le joule ; dérivée du Système international d'unités (SI), cette unité correspond au travail effectué par une force d'un Newton sur un mètre. Plus de la moitié de cette demande supplémentaire proviendrait des pays asiatiques en cours de développement. Répartition de la consommation d'énergie primaire issue de sources renouvelables en France en 2017. Echanges d’électricité dans le Monde L’énergie électrique, de par sa flexibilité d’utilisation, ses réseaux de distribution, la diversité de ses applications, est la forme d’énergie dont la consommation mondiale s’est développée le … En effet, l’énergie est nécessaire à la production et la consommation de tous les biens et services de l’industrie et des services. Au-delà de cinq ans, à moyen et long terme donc, on constate que la corrélation est de moins en moins bonne à mesure que le terme augmente. La performance de l’Europe est encore meilleure puisque le gain à long terme s’améliore et passe de 1,5 à 2% par an: Intensité énergétique pour le monde en unités d’énergie consommées par $ US de PIB (©Connaissance des Énergies, d'après source : Energy Independant Agency). Si l’on met à part ses utilisations imagées comme « un homme plein d’énergie »…, L’Agence Internationale de l’Énergie (AIE ou IEA en anglais) est une organisation intergouvernementale autonome rattachée à l’OCDE…, Iran: les nouvelles cascades de centrifugeuses de Natanz "profondément préoccupantes" pour Paris, Londres et Berlin, Nucléaire iranien: Téhéran traite par le mépris les exigences de Ryad, Méditerranée orientale: Erdogan appelle à une "formule gagnant-gagnant", Novembre 2020, le plus chaud jamais enregistré dans le monde, Novembre 2020, le plus chaud mois de novembre jamais enregistré dans le monde selon le service européen Copernicus, Nord Stream 2 sur le point d'être relancé malgré l'opposition américaine. Mais la consommation de charbon utilisé dans les centrales électriques ne l’est pas, c’est l’électricité produite par les centrales qui l’est. Food and Agriculture Organization of the United Nations, Energy conversion by photosynthetic organisms. - 80% de l'énergie consommée vient des énergies fossiles (pétrole et charbon) - C'est ce qui émet le plus de GES - Augmentation à cause de la mondialisation et l'industrialisation réchauffement climatique = impacts sur le climat, les écosystèmes, l'agriculture, la fréquence et ... Évolution des différents types de production d’énergie dans le monde Le recul de la production mondiale provient de l'arrêt de réacteurs au Japon (−275 TWh) et en Allemagne (−65 TWh) après l'accident nucléaire de Fukushima, en grande partie compensé par la progression du nucléaire en Chine, en Russie et en Inde. Les investissements dans les énergies renouvelables ont reculé de 3 %, mais les mises en service ont progressé en cinq ans de 50 % et la production correspondante de 35 %[16],[17]. Ce thème fait l’objet d’une partie dédiée dans le bilan annuel de l’énergie de la France et de publications ponctuelles. La consommation d’essence dans un moteur de voiture est comptée dans la consommation finale. Avec des conventions différentes, BP donne des estimations plus récentes : Cette statistique comprend les énergies renouvelables utilisées pour la production d'électricité, mais pas celles utilisées directement pour des usages thermiques (bois, biocarburants, pompe à chaleur géothermique, chauffe-eau solaire...) ni celles qui sont auto-consommées. BP Statistical Review of World Energy 2020 : les chiffres clés de l’énergie dans le monde, Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, Liste des Conférences des Nations unies sur les changements climatiques, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, Rayonnement sortant à grande longueur d'onde, Agence internationale de l'énergie renouvelable, Ressources et consommation énergétiques mondiales, Efficacité énergétique dans les transports, Projet de tribunal international climatique, Risques d'effondrements environnementaux et sociétaux, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ressources_et_consommation_énergétiques_mondiales&oldid=177206928, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, R/P = Réserves /Production 2019 (années restantes au rythme actuel). En 1973, cette part atteignait 86,7% (dont 46,2% pour le seul pétrole) et les énergies décarbonées ont ainsi légèrement progressé dans le mix énergétique mondial. La durée potentielle d'utilisation de l'énergie nucléaire pourrait se compter en siècles grâce aux filières de surgénération et en millénaires avec celle de fusion nucléaire, et le potentiel exploitable de l'énergie solaire est estimé à vingt fois la consommation mondiale annuelle. Au niveau mondial, les émissions de dioxyde de carbone (CO2) dues à l'énergie en 2018 sont estimées par l'AIE à 33 513 Mt, en progression de 117 % depuis 1973, dont 44,0 % produites par le charbon, 34,1 % par le pétrole et 21,2 % par le gaz naturel ; par secteur en 2017, 37 % étaient issues de l'industrie, 25 % des transports, 16 % du secteur résidentiel et 10 % du secteur tertiaire. Le scénario menant à +2 °C impliquerait une forte baisse des émissions, et par exemple le passage du nombre de véhicules électriques à 700 millions en 2040. Les opérations de conversion et transport de l'énergie donnant toujours lieu à des pertes diverses, l'énergie finale est toujours plus faible que l'énergie primaire. L'énergie sous toutes ses formes : définitions, Efficacité énergétique : l'AIE souligne l'urgence de relancer les investissements, EDF au cœur de 3 grandes interrogations en suspens…, Économie « bleue » : le potentiel des énergies marines, produits pétroliers raffinés dont les carburants automobiles, c’est une loi fondamentale de la physique, les transports (privés et professionnels), la volonté politique d’agir contre le réchauffement climatique (COP21), L’Agence internationale de l’énergie (AIE) publie chaque année son recueil « Key World Energy Statistics » qui délivre les grandes données relatives à l’énergie dans le monde…, L’énergie primaire désigne les différentes sources d’énergie disponibles dans la nature avant transformation. Elle ne l’est pas pour le groupe des pays à faible revenu et ne l’est pas non plus pour les pays à haut revenu. Consommation d’énergie primaire et finale. Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. En particulier dans les pays sans accès à l’électricité, la principale source d’énergie résidentielle reste la consommation de biomasse (bois, déjections et déchets) qui échappe au comptage. ex., pour 1 TEP sous forme d'électricité consommée chez soi, le producteur a brulé 2,5 TEP dans sa centrale à charbon, type de centrale actuellement le plus répandu dans le monde). Scénario pessimiste (sur le plan économique) : l'énergie coûte de plus en plus cher, l'agent économique voit son pouvoir d'achat baisser, tous ceux qui n'avaient pas investi dans les économies Au niveau de la production et de la consommation, les différentes formes d'énergie primaire peuvent se classer de la façon suivante : Les ressources ou réserves mondiales en énergie peuvent être considérées comme inépuisables si l'on considère que : Les potentiels énergétiques présentés ci-dessus ne sont pas directement comparables : pour les énergies fossiles et nucléaires, il s'agit de ressources techniquement récupérables et économiquement exploitables, alors que pour les énergies renouvelables (sauf l'hydroélectricité et une part de la biomasse), il n'existe encore aucune estimation globale des ressources économiquement exploitables : les parcs éoliens de nouvelle génération et les fermes solaires de grande taille s'approchent de la compétitivité en coût d'investissement par rapport aux centrales à gaz ou au charbon[10], mais ne peuvent encore, dans la plupart des cas, être produites que si elles sont subventionnées : selon l'ADEME, « les soutiens publics restent nécessaires pour prolonger les baisses de coût, faciliter les investissements ou compenser les défaillances de marché »[11] ; les potentiels indiqués ici sont des potentiels théoriques basés sur des considérations uniquement techniques. Les 4 premiers pays concentrent 65,6 % des réserves de charbon. Au-delà de cinq ans, à moyen et long terme donc, on constate que la corrélation est de moins en moins bonne à mesure que le terme augmente. Des données annuelles de consommation par usage sont également diffusées. Hydraulique : 16,7 %. La Chine est le 1er consommateur d'énergie dans le monde, une donnée à pondérer par son nombre d'habitants. Le ratio entre l’énergie secondaire produite et l’énergie primaire utilisée s’appelle le « rendement » de l’unité de transformation d’énergie. Dans son scénario de référence, l’EIA estime que la consommation mondiale d’énergie pourrait fortement croître dans les prochaines décennies : elle pourrait passer de 549 milliards de MBtu (le « British Thermal Unit » est une unité d’énergie fréquemment employée dans le monde anglo-saxon (1)) en 2012 à 629 milliards de MBtu en 2020 et 815 milliards de MBtu en 2040, soit une hausse de 48% en moins de trois … Plusieurs déterminants de la consommation d'énergie ont été identifiés. Les économies anciennement développées sont contrastées : autour de la moyenne comme les États-Unis ou très inférieures à la moyenne comme en Europe.
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