Carte des différentes forces en présence en Syrie au 24 décembre 3 / 5 Des enfants regardent un camion de déplacés dans le village d'al-Mastumah, près de la ville d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, le 24 décembre 2019 Nasser al-Hariri, le président du Comité de négociation, accuse également le régime de fabriquer un « prétexte » pour relancer une offensive militaire dans le Nord[186]. Carte de la province d'Idleb en Syrie, localisant les frappes aériennes russes près de la ville de Maaret Misrin. Cependant le président russe exhorte la Turquie à lancer une offensive contre Hayat Tahrir al-Cham, qui contrôle désormais presque tout le gouvernorat d'Idleb[203]. Le 1er janvier 2019, des affrontements éclatent subitement dans le gouvernorat d'Idleb et l'ouest du gouvernorat d'Alep entre Hayat Tahrir al-Cham et le Front national de libération[191]. Les forces gouvernementales encerclent un grand groupuscule de terroristes au sud-est d'Idleb et ont l'intention d'y mettre en place un avant-poste pour … Carte interactive du conflit | Syrie Carte interactive du conflit | Idlib Cartes militaires Carte interactive des industries Economie Politique & Diplomatie Conflit Search Syrie: le communiqué des djihadistes de HTS rejetant l'accord russo-turc d'Idleb. Le 16 octobre, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, déclare : « Selon les informations que nous recevons de nos militaires, l’accord est mis en œuvre et l’armée est satisfaite de la façon dont la Turquie travaille »[169]. L'OSDH affirme pour sa part que la zone tampon a été presque vidée de toutes les armes lourdes, à l'exception du nord du gouvernorat de Lattaquié, où selon l'ONG aucun mouvement de retrait n’a été observé[144]. Les Russes et les Iraniens feraient une grave erreur humanitaire en prenant part à cette tragédie humaine potentielle. À la mi-juillet, lors d'un entretien téléphonique avec le président Vladimir Poutine, le président Recep Tayyip Erdoğan menace notamment de se retirer du processus d'Astana en cas d'offensive loyaliste sur Idleb[48]. Mais si Idleb ne revient pas dans le giron gouvernemental par la voie du règlement, l'armée syrienne a absolument le droit de reprendre ce territoire par la force », « achever les terroristes qui restent notamment à Idleb », « le statu quo ne peut pas durer indéfiniment », « plus importants depuis le début de la guerre », « les risques d'une possible catastrophe humanitaire », « la pire catastrophe humanitaire du XXIe siècle », « Le président de la Syrie Bachar al-Assad ne doit pas attaquer imprudemment la province d'Idlib. D'autres frappes ont encore lieu les 5 et 6 septembre[102],[103]. Du côté des effectifs, selon l'ONU, 10 000 djihadistes, pour la plupart affiliés à Hayat Tahrir al-Cham, sont présents dans le gouvernorat d'Idleb[15]. Il est aussi salué par l'Iran[126],[119], par plusieurs responsables de l'opposition syrienne, ainsi que par le régime syrien, qui pourtant promet de poursuivre sa « guerre contre le terrorisme » pour « libérer » chaque mètre carré du territoire national[127]. Lire aussi : Idleb : Moscou accuse les USA de faire pression sur les membres du Conseil de sécurité de l’ONU Mais la Turquie déclare qu'elle ne veut déployer que son armée dans la zone de sécurité du nord-est de la Syrie[205]. Selon le Réseau syrien des droits de l'homme (SNHR), au moins 701 civils, dont 131 femmes et 201 enfants, sont tués par les bombardements du régime et de la Russie entre le 17 septembre 2018 et le 24 mai 2019[228]. Le 6 septembre, les États-Unis affirment pour leur part avoir de « nombreuses preuves » montrant que le régime syrien prépare des armes chimiques en prévision de l'offensive[100]. Le soir du 24 novembre, des dizaines de personnes souffrant de suffocation sont hospitalisées à Alep[183],[184],[185]. À plusieurs reprises au cours des mois d'août et septembre, la Russie et l'Iran réaffirment leur détermination de passer à l'offensive à Idleb[75],[76],[77],[78],[79],[80],[81]. Une partie du sud-est du gouvernorat d'Idleb est notamment reconquise par le régime lors de l'offensive d'Abou Douhour[4],[21]. En deux mois, les deux camps déplorent chacun près d'un millier de morts, plus de 600 civils sont tués dans des raids aériens et les loyalistes ne reprennent qu'une poignée de villages[227]. Comme Alep ou la Ghouta précédemment, la province d'Idleb est aujourd'hui la cible du régime syrien et ses alliés. Gouvernorat d'Idleb, Syrie - Visualisation et partage de cartes topographiques gratuites. La Russie dispose quant à elle en permanence d'une trentaine d'avions sur la base aérienne de Hmeimim[28]. En août 2018, le nombre de ces postes militaires établis en zone rebelle est de douze et ces derniers sont occupés par 1 300 soldats[26],[48],[30]. L'accord est salué le 18 septembre par le secrétaire général des Nations unies António Guterres, ainsi que par Staffan de Mistura l'émissaire de l'ONU pour la Syrie[125]. Cette fois, les djihadistes d'Hayat Tahrir al-Cham n'interviennent pas[106],[18]. Le 13 mars l'aviation russe mène des frappes dans la région d'Idleb pour la première fois depuis la conclusion de l'accord de Sotchi[207],[208]. 6 septembre 2018 Contrôlée par une insurrection syrienne dominée par la coalition jihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS, ex-Front al-Nosra, autrefois lié à al-Qaïda) et l’influent groupe Jaich al-Ahrar, la province d’Idleb est maintenant un objectif prioritaire pour Damas et Moscou. Le 16 novembre, au moins 22 combattants loyalistes sont tués à Sarmaniyé (en), au nord-ouest du gouvernorat de Hama, dans une attaque menée par Tanzim Hurras ad-Din et d'autres groupes djihadistes[181]. La moitié d'entre eux sont des déplacés et les deux tiers dépendent pour survivre, de l'aide humanitaire internationale, convoyée depuis la frontière turque[42],[43]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les rebelles du Front national de libération (FNL), qui contrôlent l'ouest du gouvernorat d'Alep, démentent quant à eux avoir tiré des projectiles, chimiques ou non, contre la ville d'Alep[183],[186],[185]. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, entre le 17 septembre 2018 et le 7 mai 2019, les violences ponctuelles entre loyalistes et rebelles font au moins 946 morts, dont[3] : Selon l'ONU, au moins 200 civils sont tués dans la région d'Idleb de février à fin avril 2019 et près de 140 000 personnes ont été déplacées par les violences au cours de la même période[212]. À l'issue des discussions, la Russie et la Turquie annoncent avoir conclu un accord pour instaurer une « zone démilitarisée » à Idleb[114],[118],[18],[17],[119],[120]. Le titre lui-même peut être provisoire. Le 12 octobre, des habitants de la future zone tampon reçoivent sur leurs portables des messages de l'armée les appelant à tenir leurs distances avec les insurgés : « Éloignez-vous des combattants. Le 10 septembre, Mark Lowcock (en), le secrétaire général adjoint du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), déclare que la bataille d'Idleb pourrait être « la pire catastrophe humanitaire du XXIe siècle »[85]. Des centaines de milliers de personnes pourraient être tuées. Hayat Tahrir al-Cham ne répond pas officiellement à l'accord russo-turc, se déclarant seulement sceptique, via son organe de propagande Ebaa, quant aux intentions de la Turquie[124],[129]. Le 4 septembre, après une pause de 22 jours, les frappes aériennes russes reprennent dans la province d'Idleb : au moins 13 civils sont tués selon l'OSDH, dont six enfants[75],[101],[66]. Syrie : que se passe-t-il à Idleb, dernier bastion rebelle ? En août, Hayat Tahrir al-Cham et le Front national de libération arrêtent notamment des dizaines de personnes soupçonnées de négociations avec des représentants de Damas en vue d'accords avec le régime[74]. Il n’y a pas d’autre Idleb », Syrie : Idlib, le dernier acte de la reconquête pour Bachar el-Assad, De plus en plus isolé, Erdogan s’en remet à Poutine. Idleb revêt une importance stratégique majeure, consistant en sa position sur la route internationale reliant la Turquie à la Syrie, à la Jordanie et au Golfe. Lors des discussions avec ses partenaires du processus d'Astana, la Turquie concède que les « groupes terroristes » doivent être « éliminés », mais elle demande que la distinction soit faite entre les groupes rebelles sous son influence et les groupes djihadistes[20],[47],[64],[19]. Pour le reporter Georges Malbrunot, du Figaro, 40 000 rebelles pro-turcs et 15 000 djihadistes, dont 6 000 étrangers, occupent la région[7],[17]. Pour sa part, le président syrien Bachar el-Assad déclare le 7 octobre lors d'une réunion du comité central du Parti Baas, citée par l'agence de presse d'État SANA, que l'« accord est une mesure temporaire. Le 31 août, John Ging, haut responsable de l'OCHA, déclare devant le Conseil de sécurité des Nations unies qu'« un scénario du pire à Idleb a le potentiel de créer une urgence humanitaire encore jamais vue tout au long de cette crise »[45]. L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) estime également à 30 000 le nombre des combattants de Hayat Tahrir al-Cham[21],[22]. Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian évoque aussi le risque d'une catastrophe humanitaire pire encore que celle d'Alep et affirme également redouter une dispersion des djihadistes en cas d'assaut qui pourrait menacer la sécurité de l'Europe[16],[90]. Le 30 octobre, un accrochage entre rebelles a également lieu à Kafr Hamra, dans l'ouest du gouvernorat d'Alep, faisant treize morts, dont sept djihadistes de Hayat Tahrir al-Cham selon l'OSDH[172],[173],[174]. Le 9 novembre avant l'aube, les forces du régime lancent un assaut contre une position de Jaych al-Ezzah dans le nord du gouvernorat de Hama et tuent au moins 22 rebelles, contre quatre tués dans leurs rangs[178],[179]. En quelques jours, les rebelles pro-turcs sont complètement battus dans l'ouest du gouvernorat d'Alep qui passe entièrement aux mains des djihadistes[192]. Le 25 avril, des roquettes s'abattent sur la base aérienne de Hmeimim[214]. Idlib sur le site Mapcarta, la carte ouverte. Attaques illégales des forces gouvernementales contre des civils et des centres médicaux dans le gouvernorat d’Idlib, Syrie: 13 morts dans des frappes russes, les "premières" contre Idleb depuis un accord russo-turc, Syrie: frappes russes contre des positions jihadistes dans la région d'Idleb, Idleb: le régime de Damas bombarde "systématiquement les installations médicales", Syrie: violents raids de l'armée russe dans la région d'Idleb, Syrie: 22 civils tués dans des frappes du régime dans le nord, En Syrie, les bombardements du régime dans le nord-ouest font près de 140 000 déplacés, Syrie: 13 combattants du régime tués par un groupuscule djihadiste, Syrie: les jihadistes bombardent la ville de Lattaquié, principal fief du régime, Syrie: les avions russes pilonnent les régions contrôlées par les jihadistes, Syrie: 10 civils tués dans des raids aériens russes à Idleb, Syrie : 22 combattants prorégime tués dans des attaques jihadistes, More casualties in today’s attacks raise to 60, the death toll of the regime forces and militiamen loyal to them in a week of operations by the jihadi groups within ” Putin – Erdogan ” demilitarized area, La machine de guerre russo-syrienne à la reconquête de la province rebelle d’Idlib, Syrie: tirs contre un poste d'observation turc depuis des zones contrôlées par Damas, selon Ankara, Les bombardements s'intensifient dans le dernier bastion rebelle de Syrie, Syrie: "les pires bombardements" depuis plus d'un an dans les provinces d'Idleb et de Hama, Syrie: 12 civils tués par des bombardements du régime et de la Russie selon une ONG, Syrie: 9 civils tués dans des raids du régime et de la Russie, Syrie: trois hôpitaux touchés par des frappes russes dans le nord-ouest, Bataille d'Idlib: le régime de Damas à l'assaut de la province rebelle, Syrie : à Idlib, l’offensive du régime de Bachar Al-Assad piétine, Syrian-Russian Alliance Forces Target 24 Medical Facilities in the Fourth De-Escalation Zone Within Four Weeks, Accord entre la Turquie et les États-Unis sur Manbij, Bombardement de la base aérienne d'Al-Chaayrate, Bombardements de Barzé et de Him Shinshar, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Zone_démilitarisée_à_Idleb&oldid=181131048, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 207 rebelles tués, dont 96 djihadistes et 23 hommes de, 453 civils, dont 104 femmes et 127 enfants, tués par les bombardements du régime, 32 civils, dont 5 femmes et 6 enfants, tués par des tirs d'artillerie rebelles. Du 26 avril au 13 septembre, au moins 80 membres de cellules dormantes de l'État islamique sont également tués, dont 41 exécutés par les membres de Hayat Tahrir al-Cham ou d'autres groupes[39]. En revanche Bachar al-Jaafari, l'émissaire du régime, déclare qu'« il ne peut y avoir aucun compromis concernant la reprise du contrôle du territoire syrien par le gouvernement syrien. Des dizaines de raids sont menés sur plusieurs points, notamment contre les villes d'Idleb et de Saraqeb[207]. Les 29 et 30 septembre, des combats ont également lieu entre l'armée syrienne et Jaych al-Ezzah dans nord du gouvernorat de Hama, ainsi qu'entre des loyalistes et des djihadistes dans l'est du gouvernorat de Lattaquié[141]. Syrie : opération turque à haut risque dans la région d’Idlib, En Syrie, les militaires turcs accueillis en sauveurs à Idlib, Idleb : Ankara échoue à modifier les plans russo-iraniens, Syrie : une "solution militaire" à Idleb causerait une "catastrophe", Turkey designates Syria's Tahrir al-Sham as terrorist group, Syrie : reprise des bombardements russes à Idlib, où l’ONU appelle à « éviter un bain de sang », Syrie: Lavrov espère que personne ne va «entraver l'opération antiterroriste», La Russie et l’Iran, des alliés de plus en plus rivaux en Syrie, Idleb : pourquoi l’issue de la bataille se joue avant tout en coulisses, Bombardements du régime et appel à la reddition à Idleb, Syrie: les raids dans le nord ont tué 53 civils dont 28 enfants, selon un nouveau bilan de l'OSDH, Syrie: : l'explosion d'un dépôt d'armes fait des dizaines de morts près d'Idleb, Syrie: les rebelles consolident leurs positions en prévision d'un assaut, A Idleb, un chef jihadiste met en garde les rebelles contre des pourparlers avec Damas, Idleb sous les bombardements russes, l'ONU craint un "bain de sang", L'armée syrienne "s'apprête à régler" le problème du "terrorisme" à Idleb, selon le Kremlin, Craintes accrues d'un "massacre" en cas d'assaut sur Idleb en Syrie, Syrie: le chef de la diplomatie iranienne soutient une offensive contre Idleb, Syrie: la Russie «tue et tuera les terroristes», à Idleb ou ailleurs, Les alliés d'Assad prônent le "nettoyage" d'Idleb, La province d'Idleb, objectif du régime syrien depuis plusieurs mois, Idleb: l'ONU exhorte Poutine et Erdogan à parler d'urgence pour éviter un "bain de sang", Syrie : le pape avertit sur le risque de "catastrophe humanitaire", Idleb pourrait devenir la "pire catastrophe humanitaire" du, Syrie: Washington accuse Moscou de "défendre l'assaut" syrien contre Idleb, Syrie: la France inquiète d'une offensive du régime à Idlib, Trump appelle la Syrie et ses alliés à ne pas mener d’offensive contre Idlib, Offensive à Idlib: Trump met en garde la Syrie et ses alliés, Idleb: Le Drian met en garde contre une "déflagration humanitaire", Les Occidentaux impuissants face aux Russes à Idleb, Syrie: mises en garde symboliques de Washington, résigné à la victoire d'Assad, Idleb : les Occidentaux ne sont pas au cœur du jeu, Washington réagira "très fortement" si Damas utilise des armes chimiques à Idleb, Armes chimiques : les États-Unis mettent à nouveau la Syrie en garde, Syrie : Moscou accuse les rebelles de préparer une attaque chimique, Syrie: Moscou accuse les rebelles de «mettre en scène» une attaque chimique, Dans la perspective de la bataille d'Idleb, la propagande russe se met en branle, Syrie : Washington affirme avoir des preuves que le régime d'Assad prépare des armes chimiques avant d'attaquer d'Idleb, L'aviation russe pilonne à nouveau la province d'Idleb, selon l'OSDH, Idlib en Syrie. Ces derniers ne font cependant aucune annonce officielle[153],[154],[144]. Le 9 août, des tirs d'artillerie et de roquettes s'abattent sur des positions rebelles et djihadistes près de Jisr al-Choghour[70]. Les deux factions majeures sont Hayat Tahrir al-Cham et le Front national de libération[2]. Des incidents ont cependant lieu dans la poche d'Idleb. Le Front national de libération est quant à lui formé au printemps et à l'été 2018 sous l'impulsion de la Turquie, par la fusion de factions de l'Armée syrienne libre — la 1re division côtière, la 2e division côtière, la 23e division, Al-Forqat al-Wasti, l'Armée libre d'Idleb, la Brigade Al-Hurriyat, la Faylaq al-Cham, Jaych al-Nasr, Jaych al-Nokhba, Jaych al-Thani et le Liwa Shuhada al-Islam — et de formations islamistes ou salafistes — Suqour al-Cham, Jaych al-Ahrar, Tajamu Dimashq, et surtout le Jabhat Tahrir Souriya, lui-même né d'une fusion entre Ahrar al-Cham et le Harakat Nour al-Din al-Zenki[8],[9],[10],[2],[4],[7],[11].

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